AVANT...

L'équipe de choc des Salons de la Poésie NJART® prépare la salle :
jeudi 6 mars Dany et Nelly : tapisserie, affichage, fléchage
vendredi 7 mars Karine et Nelly : ameublement, décoration, habillage
et... Jean-Marc pour la sono

PENDANT...

...APRES le passage de l'équipe de choc

à gauche le stand des poètes, à droite le coin vidéo-projection
devant la table de consultation des ouvrages des poètes d'autrefois
fleurie par Isa Fleur de Drap

Le coin accueil et la Galerie des poètes

Le coin café poésie

et en cuisine on prépare le cocktail

Éric DAVEUX

Michelle COINDEAU

Paul LAMOUR

Jeannine BIEHLER

LOBSANG

Nelly JOHNSON

Karine FRIBOULET

ROBERT FRED

Samedi une joute poétique où les poètes dialoguent en alexandrins, sonnets, acrostiches, vers libres
sur un thème lancé à la volée auquel l'œuvre poétique des poètes du salon fait écho
en présence de René Passeron maire de Peillon.

19 h 30 le dîner des poètes
M E N U

ÉLOGE à la cuisine italienne que voici :
Tout le potager ligure en anti pasti,
La blanche mozzarella avec eux assortie.
Daube de Mame Fanette et polenta les suit,
Douceur de la Panna Cotta pour l’harmonie,
Cuvée de la maison fait un palais réjouit.
Tout ceci dans la chaleureuse ambiance du restaurant
Chez Aldo le Romain, à Borghéas de Peillon.

LES CAFÉS POÉSIES DU 3ème SALON de la POÉSIE NJART®

SAMEDI 8 MARS 2008 à 15 h Né au coeur de l’Italie du XIIIème siècle, le sonnet, poème composé de quatorze vers distribués de différentes manières obéit à des règles strictes quant à la disposition des rimes, ce que nous dévoile Karine FRIBOULET notre spécialiste de l’art poétique. Elle nous avait brillamment présenté L’ALEXANDRIN, lors du 1er Salon elle nous parle aujourd’hui du SONNET . Une brillante intervention au cours de laquelle nous découvrons l'évolution du sonnet tant à travers les siècles qu'à travers les différentes régions d'Europe où il fut considéré comme l'aboutissement de l'Art Poétique... Point de vue personnel : l'art poétique n'aboutit pas il EST tout simplement. A ce propos KarineFriboulet répond que le sonnet, s'il est l'un des canons de l'écriture poétique, fut aussi considéré comme un moyen technique parfait pour cacher un manque d'inspiration.

Parmi l'assemblée attentive René Passeron maire de Peillon

DIMANCHE 9 MARS 2008 à 15 h La poésie réputée art solitaire se conjugue au pluriel lorsque les poètes décident d’écrire en commun. Présentation de deux expériences différentes : un livre co-écrit par deux poètes en correspondance avec Éric DAVEUX et Karine FRIBOULET : à l'issue de leur participation au 1er Salon de la Poésie NJART, Éric Daveux et Karine Friboulet ont échangé une correspondance par e-mail en alexandrin, forme de joute poétique qu'ils décident de publier dans un recueil intitulé ALEXANDRINE & ALEXANDRIN, une expérience qu'Eric Daveux souhaite poursuivre dans une prochaine publication co-écrite d'un genre différent tout en étant poétique. un recueil collectif d’un groupe de 30 poètes informels avec Thérèse LE COQ et Nelly JOHNSON : à l’issue de la saison poétique 2006/2007 du café poésie de Prira cava, un recueil collectif où chacun a participé soit en découvrant des poèmes des poètes disparus sur le thème de l’ÉCRITURE, soit en écrivant eux même des sonnets, alexandrins, acrostiches et autres textes d’une qualité poétique remarquable est édité sous forme d'un cahier de poésie. Thérèse Le Coq parle de son expérience enrichissante et souhaite voir éditer à la fin de la saison poétique 2007/2008 un nouveau cahier de poésie sur le thème qu'elle a tiré au sort : LA VIE

de gauche à droite : Éric Daveux, Karine Friboulet, Nelly Johnson, Thérèse Le Coq

16 h 30 Cocktail de clôture offert par NJART®

Tout en partageant jus de fruit, mousseux et petits gâteaux, le recueil ÉLOGE DE L'AUTRE DES POÈTES DISPARUS édité en un exemplaire à l'occasion du SALON de la POÉSIE a été proposé aux enchères démarrées à 10 euros et remportées par Madame Thérèse Le Coq qui propose 50 euros pour soutenir NJART®. Chaque poète a ensuite dédicacé le recueil à l'intention de l'heureuse bénéficiaire.

18 h 00 Il faut se quitter....

C'est le moment le plus difficile pour nous tous car le premier salon fut un coup d'essai réussit, le second fut encore bien plus fort en émotions et partage d'amitié poétique et le troisième fut tout aussi fort en échange poétique de poètes venus de très loin cette année de France et de Suisse. Un instant de rare communion poétique entre les poètes présents, mais également avec le public pas assez nombreux hélas mais je vais tâcher de remédier à cette carence pour le prochain salon....

L'accueil chaleureux de la commune de Peillon et particulièrement de Monsieur René Passeron, maire, de Madame d'Amore secrétaire de mairie, de Monsieur Jean-Marc Rancurel conseiller municipal, de Madame Véronique Muller conseillère municipale, un tel accueil ne peut que me faire revenir souvent ici pour la poésie, pour la musique et toute forme d'expression artistique si rarement appréciés en d'autres lieux..... un grand MERCI à PEILLON.

C'est sur un acrostiche en alexandrins, composé en hommage à cette commune d'exception que j'ai édité cette carte postale :

PEILLON Posé sur un piton rocheux, village altier Erigé entre terre et cieux, pointe le clocher Il est lieu magique, idyllique pour versifier Lingot de pierres, trésor médiéval sauvegardé Lieu Muse de l'artiste, imprégné du passé Offrant en ces temps modernes la sérénité Noble paysage auréolé d'oliviers. Nelly mars 2008

Un mail de Paul LAMOUR le 10 mars 2008 à 7 h 46

Bonjour, Nelly.
Il reste une photo à expédier.
Le voyage du retour s'est passé dans de très bonnes conditions.
J'ai pris l'autoroute ce qui m'a fait gagner presque 2 heures. Merci encore pour l'excellence de l'accueil et pour ces 2 jours où le temps a passé très vite.
Amicalement.
Paul

Un mail d'Élisabeth MIGLIANICO le 10 mars 2008 à 9 h 50

Merci de ce bon moment.
Cordialement
E MIGLIANICO
Association Lecture Pour Tous

Un mail de Jeannine BIEHLER le 10 mars 2008 à 13 h 12

Bonjour Nelly,
Merci pour tout ce que tu fais pour la poésie. Merci pour ce troisième salon toujours aussi riche en partage et en émotion. Nous reviendrons, c’est certain !!! Et si le public n’a pas suivi, les poètes étaient tous très heureux d’être auprès de toi pour t’accompagner durant ces deux jours.
J’espère à très bientôt
Je t’embrasse
Jeannine

Un mail de LOBSANG le 10 mars 2008 à 19 h 32

Ma chère Nelly,
Merci encore pour ces moments d'échanges et d'Amitiés.
La poésie nous fait vibrer, elle nous met à nu, sans pudeur.
Les pages blanches ne suffisent plus pour exprimer nos sentiments et nos joies. Alors, les vibrations des mots se propagent dans l'espace... l'espace de ton salon où, tous réunis, nous avons mis nos cœurs à l'unisson...
Tendre Amitié
Lobsang

Un mail de Michelle COINDEAU le 14 mars 2008 à 19 h 27

Je suis encore avec vous, pendant que le paysage défile derrière les vitres du camion.
A l'arrière un carton de livres se trimballe de bâbord à tribord à chaque virage de la D908.
J'emmène mon trésor vers d'autres horizons, pour le faire partager.
Quel régal de côtoyer ces poètes troubadours, ces fanfarons, ces timides, ces talentueux oubliés.
Grand compliment à vous tous, vous avez su accepter l'autre avec nos différences pour partager votre passion.

Merci Nelly, tu nous pousses à sortir de notre coquille.
Merci Eric, ton rire chasse nos peurs. Merci Karine, ta poésie toute en finesse nourrie mon cœur,
Merci Lobsang, ta musique est le petit plus pour égayer un salon,
Merci Fred, tes conseils et ton humour sont un bien précieux,
Merci Jeannine, tu m'apprends à sauter la barrière de la timidité,
Merci Paul, tu nous prouves par ton acharnement à livrer tes idées que tout est possible,
Merci Michelle, pour ton stand révélateur de personnalité, tu n'es plus seule.
--
Michelle.

Un mail de Jeannine BIEHLER le 14 mars 2008 à 20 h 28

Salut à tous les poètes!
Il faisait froid, humide, c'était loin...
Et pourtant je garde un souvenir merveilleux de vous tous.
Un moment de joie, pour rien parce que, qui se renforce à chaque pas qui m'en éloigne.
Je suis de retour à Madrid, je suis redevenu sauvage et solitaire. J'ai repris mon voyage sempiternel. Dans la tourmente du brouhaha je vous ai emportés, un petit peu, comme une grange de ciel bleu qui m'apporte un refuge.
En Suisse on dit: "tout de bon", c'est ce que je vous souhaite, et je l'accompagne d'un rayon d'amitié. Si vous passez un jour vers chez moi, je vous emmènerai boire le petit blanc sur nos colline vertes. On ira dans le pays de Ramuz!
J'ai marqué sur ma boussole cette petite île, et je retrouverai le chemin des clochettes avec le plaisir d'un goût retrouvé.
Portez-vous bien et que ça pulse!... Ou doit-on dire: "Que ça plume!"?
Fred